Qu'est-il des mesures contre la maltraitance des animaux d’élevage ? Idem pour la faune sauvage. Le Président, à des fins électorales évidentes, offre des avantages aux chasseurs, au détriment des animaux, de la nature, de notre sécurité.
« Migrants et associations, eux, attendent un moratoire sur les évacuations pour l’hiver. Que comptez-vous faire, Monsieur le Ministre ? Les mots « détresse », « urgence », font-ils partie de votre vocabulaire ? La République a-t-elle, oui ou non, un devoir de fraternité à l’égard de gens qui, avant d’être des clandestins, sont nos semblables : des humains ? »
« Le recours excessif aux ordonnances fragilise le Parlement. Ce qui est censé être un mode dérogatoire exceptionnel ne doit pas rentrer dans la norme. Nous devons à tout prix rappeler à l’exécutif à qui appartient de fait le domaine législatif pour ne pas laisser de place au doute. »
« Tout porte à penser que ce virus ne disparaitra pas totalement de nos vies. Le gouv. nous condamne-t-il à vivre sous le joug d’infinies prorogations d’états d’urgence en espérant une éventuelle disparition du virus ? Ce risque, je refuse de l’accepter. »
« Le numérique nous invite donc à explorer les chemins de la transition écologique en investissant les dimensions sociales et collectives de cette évolution. »
Ce texte souligne, à juste titre, le « devoir d’exemplarité de l’action climatique des pays moteurs » de la lutte contre le réchauffement. Or, l’exemplarité est le dernier mot qui me vient à l’esprit quand je pense à la politique environnementale de la France. Depuis l’accord de Paris, jamais notre nation n’a tenu ses engagements de réduction des gaz à effets de serre.
Le 28 octobre 2021, j'ai adressé un courrier à Gérald Darmanin pour faire valoir les revendication des grévistes de la faim à Calais.
« Les conditions d’accès à l’adoption restent largement imprégnées par le modèle familial traditionnel, puisque seuls les couples mariés peuvent prétendre à l’adoption. Or, le mariage n’est plus le seul modèle adopté par nos concitoyens et concitoyennes »
« L’obtention d’un titre de séjour d’un jeune majeur ayant été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance ne devrait pas être un parcours du combattant et ne devrait pas relever du régime de l’exception. »