
Avec un taux d’occupation atteignant 165 %, les détenus doivent parfois cohabiter à trois ou quatre par cellule. Des conditions de vie difficiles, dans des locaux qui n’ont pas connu de rénovation depuis son ouverture en 1980. Nous nous sommes s’est rendus dans les Yvelines.

La Cimade dénonce le non-respect de leurs droits, et les conditions d’enfermement de ces personnes que l’administration française veut expulser. Nous avons pu visiter, aux côtés d’une élue, le Centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot, en Seine-et-Marne.

Gouverner par la panique, ça suffit. Il faut graduer. Notre politique énergétique est un fiasco, oui. Mais faire porter le chapeau aux écologistes, c'est un peu fort ! Et voilà qu'on nous dit qu'on va essayer de mieux faire.

Sur l'accueil des migrants en France : celui-ci doit être digne. Plus il y a un bon accueil, meilleure sera leur intégration.

Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".

Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".

Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".

Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".

Le 20 septembre, la sénatrice écologiste de Paris, Esther Benbassa, était en visite à la prison de Bapaume. Cette dernière était venue observer les conditions de vie des détenus, mais également venue pour s’entretenir avec Inès Madani. « Cet entretien est en lien avec mes deux rapports au sujet de la radicalisation », expliquait la sénatrice qui indiquait qu’Inès Madani n’avait pas sa place à Bapaume. « Inès Madani est ici en régime de portes fermées. Cet enfermement quasi quotidien n’est pas la solution à la déradicalisation. Il faut que nous trouvions des solutions pour la placer ailleurs », ajoutait-elle.