Même constat d’Esther Benbassa, sénatrice ex-EELV. « Le sommeil est très significatif, la situation est enterrée, personne ne veut rien faire, c’est incandescent », explique-t-elle.
91 parlementaires français lancent un appel mardi 22 mars pour l’adoption d’une « déclaration politique claire et ambitieuse contre l’utilisation d’armes explosives dans les zones peuplées » en Ukraine. Le texte rappelle également qu’au-delà des armes interdites employées par l’armée russe, ce sont des armes « conventionnelles » qui sont « à l’origine de l’hécatombe de civils ». Tribune signée par Esther Benbassa.
À l’approche de la présidentielle, ELLE part à la rencontre des femmes françaises dans la série « Elles font la France ». Cette semaine, nous nous sommes rendues avec la sénatrice Esther Benbassa dans la prison pour femmes de Rennes, en Bretagne, où un scrutin présidentiel sera organisé sur place pour la première fois.
Minoritaires, les femmes incarcérées sont les grandes oubliées du système pénitentiaire et de la campagne présidentielle. La sénatrice s'est donc rendue aujourd'hui à la Prison pour femmes de Rennes - seul établissement exclusivement réservé aux femmes en France.
À l’occasion de la visite de la sénatrice Esther Benbassa, le Télégramme a visité le Quartier de prise en charge de la radicalisation de la prison des femmes de Rennes.
Sénatrice écologiste de Paris et membre de la commission des lois, Esther Benbassa n'a pas été beaucoup plus tendre. "La radicale de salon a encore frappé", lance-t-elle, "comparer EELV au KuKluxKlan est à la fois grotesque et contre-productif". "Ce n'est pas en en parlant ainsi que l'on fera bouger les choses", conclut-elle.
Alors qu’un nouveau traitement de substitution est disponible, le gouvernement doit soutenir les centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (Csapa) pour leur permettre de financer de ces innovations thérapeutiques. Tribune signée par Esther Benbassa.
Étonnamment, l’ex-EELV Esther Benbassa relève la sobriété de l’exercice et sa « retenue » qui tranche, selon elle, avec la volonté réformatrice de 2017. « Voici venu le consensus, presque la sagesse. On attend la suite », a-t-elle réagi sur Twitter.
En 1998, on exaltait la diversité dans le sport et voici qu'on pinaille sur le port du voile – signe plus identitaire que religieux – par quelques footballeuses... Alors que les règles varient selon les sports et selon les pays.