CNEWS – Migrants : ce qu’ils reprochent à la France

Sur l'accueil des migrants en France : celui-ci doit être digne. Plus il y a un bon accueil, meilleure sera leur intégration.
Sénatrice de Paris
Sénatrice de Paris
Sur l'accueil des migrants en France : celui-ci doit être digne. Plus il y a un bon accueil, meilleure sera leur intégration.
Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".
Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".
Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".
Présente jeudi soir, la sénatrice de Paris Esther Benbassa insiste sur "l'état de ces mineurs isolés qui se dégrade", et s'interroge: "Mais que fait le gouvernement?".
Le 20 septembre, la sénatrice écologiste de Paris, Esther Benbassa, était en visite à la prison de Bapaume. Cette dernière était venue observer les conditions de vie des détenus, mais également venue pour s’entretenir avec Inès Madani. « Cet entretien est en lien avec mes deux rapports au sujet de la radicalisation », expliquait la sénatrice qui indiquait qu’Inès Madani n’avait pas sa place à Bapaume. « Inès Madani est ici en régime de portes fermées. Cet enfermement quasi quotidien n’est pas la solution à la déradicalisation. Il faut que nous trouvions des solutions pour la placer ailleurs », ajoutait-elle.
Oui à la régularisation des étrangers clandestins travaillant déjà ou susceptibles de travailler dans des secteurs en tension, comme la restauration par exemple. Il n'y a aucune raison de fragiliser un peu plus leur situation ou de les expulser, au contraire.
Esther Benbassa, sénatrice non inscrite de Paris : Selon Pôle emploi, 92 % des demandeurs cherchent activement un travail et un quart ne font pas valoir leurs droits à l'indemnisation. Nous voulons des possibilités pratiques, non des constatations théoriques.
Voici le témoignage d’Aïcha que j’ai pu rencontrer mardi dernier au Foyer Louise Labé, géré par l'association Halte Aide aux Femmes Battues. La preuve qu'il faudra bien voter ce matin au Sénat pour le texte prévoyant une aide d'urgence pour les victimes de Violences Conjugales.