Description :Cérémonie de célébration du 104ème anniversaire de l’Armistice du 11 novembre 1918, Commémoration de la Victoire et de la Paix, Hommage à tous les morts pour la France, en présence de M. le Président de la République.
Le 20 septembre, la sénatrice écologiste de Paris, Esther Benbassa, était en visite à la prison de Bapaume. Cette dernière était venue observer les conditions de vie des détenus, mais également venue pour s’entretenir avec Inès Madani. « Cet entretien est en lien avec mes deux rapports au sujet de la radicalisation », expliquait la sénatrice qui indiquait qu’Inès Madani n’avait pas sa place à Bapaume. « Inès Madani est ici en régime de portes fermées. Cet enfermement quasi quotidien n’est pas la solution à la déradicalisation. Il faut que nous trouvions des solutions pour la placer ailleurs », ajoutait-elle.
Cérémonie en hommage aux Sénateurs et fonctionnaires du Sénat morts pour la France.
Début de l'examen du PLFSS pour 2023 au Sénat : ici, la menace du 49-3 ne plane pas au-dessus nos têtes. Nous mènerons donc les discussions jusqu’au bout. Il nous faut une réponse sérieuse et convaincante face aux enjeux de notre système de santé.
Oui à la régularisation des étrangers clandestins travaillant déjà ou susceptibles de travailler dans des secteurs en tension, comme la restauration par exemple. Il n'y a aucune raison de fragiliser un peu plus leur situation ou de les expulser, au contraire.
Esther Benbassa, sénatrice non inscrite de Paris : Selon Pôle emploi, 92 % des demandeurs cherchent activement un travail et un quart ne font pas valoir leurs droits à l'indemnisation. Nous voulons des possibilités pratiques, non des constatations théoriques.
Pour Olivier Dussopt, le problème du marché du travail ce sont les demandeurs qui devraient accepter toute offre. Le bas niveau de rémunération et les conditions de travail n'y sont donc pour rien. Les Gilets jaunes vous manquent, c'est ça ?
Quitter son domicile, lorsqu’on est victime de Violences Conjugales, est une épreuve durissime qui requiert un immense courage. La parole des femmes se libère. Encore faut-il que les institutions s'adaptent. Cette aide d’urgence versée à ces victimes est un bon début.
Voici le témoignage d’Aïcha que j’ai pu rencontrer mardi dernier au Foyer Louise Labé, géré par l'association Halte Aide aux Femmes Battues. La preuve qu'il faudra bien voter ce matin au Sénat pour le texte prévoyant une aide d'urgence pour les victimes de Violences Conjugales.