Intervention lors de l’étude de la proposition de loi relative à la sécurité globale. Prétextant une situation sécuritaire dégradée, le Gouvernement alimente en réalité, sans réel fondement, la surenchère sécuritaire dans notre pays, au travers de ce projet de loi déguisé en proposition de loi.
Le 16 mars 2021 devant le Sénat, contre la proposition de loi relative à la sécurité globale.
« J’ai signé car j’ai pensé que c’était utile. J’espère que cela passera et que ce sera une première étape », encourage la sénatrice EELV Esther Benbassa, qui fait partie des cosignataires. L’écologiste, qui milite pour un RSA ouvert aux jeunes de 18-25 ans considère que les décisions du gouvernement sont loin des attentes. « Nos jeunes ne comprennent pas pourquoi on ne s’intéresse pas à eux. On a trouvé que ce n’était pas rentable pour la présidentielle », dénonce-t-elle.
"Ayant participé à plusieurs manifestations d'étudiants, je ne pouvais pas fermer les yeux et hésiter à signer ce texte au motif qu'il ne venait pas de la gauche", a expliqué la sénatrice écologiste Esther Benbassa au micro de France Inter.
A gauche, la vice-présidente du groupe écologiste, Esther Benbassa, historienne de formation, concède que cette initiative « n’est pas mauvaise en soi », « parce que les personnes issues de l’Outre-mer ou des anciennes colonies sont assez peu représentées dans l’espace public ». « Mais c’est une liste de suggestions qui va bien évidemment relancer des polémiques », pressent-elle. La sénatrice regrette toutefois, le peu de place faite aux femmes parmi les propositions et enjoint le comité scientifique à regarder du côté de l’histoire contemporaine pour y remédier.
Au micro de Public Sénat pour évoquer l'arrivée des lois sécurité globale et séparatisme au Sénat, la gestion du gouvernement face à la situation sanitaire, les élections régionales et l’union de la gauche.
Prise de parole lors du vote de la proposition de loi portant sur le droit à mourir dans la dignité. La société évolue. Un sondage Ipsos de mars 2019 montre que 96% des Français se disent favorables à la reconnaissance du droit à l’euthanasie. Alors faisons-le, établissons en France ce droit à mourir dans la dignité.
Réponse du Premier ministre à ma question concernant le budget alloué aux commissions d'accès aux documents administratifs, adressée en juin 2020.
Interrogé par la sénatrice écologiste Esther Benbassa sur les exactions commises sur les musulmans Ouïghours par le pouvoir chinois, le ministre de l’Europe et des affaires étrangères a tenu à réaffirmer ses propos tenus fin janvier devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU.