Un propos partagé par la sénatrice EELV Esther Benbassa. Dans un tweet publié samedi après la commémoration, celle-ci estime que les déclarations du président de la République sont «un pas en avant» mais restent «insuffisantes pour réparer les mémoires blessées». «Il est temps de reconnaître le 17 octobre comme un crime d'État», juge-t-elle.
60 ans après, marche à Paris en hommage aux Algérien·ne·s qui ont été tué·e·s par la police au cours de la nuit du 17 octobre 1961. Un crime d’État, que la France n’a toujours pas reconnu.
« L’obtention d’un titre de séjour d’un jeune majeur ayant été pris en charge par l’aide sociale à l’enfance ne devrait pas être un parcours du combattant et ne devrait pas relever du régime de l’exception. »
« La pédagogie a fait ses preuves. Il est préférable à ce jour de continuer sur cette voix-là, d’aller s’adresser aux plus réticents, aux plus isolés, d’appeler à la responsabilité de toutes et tous, de se vacciner pour se protéger soi-même, pour protéger les autres, même si, je le sais, ce travail est fastidieux. »
Dès 2014 je me suis engagée pour la légalisation controlée du cannabis récréatif. Je me suis battue aussi pour le cannabis thérapeutique. L'opinion a évolué. Santé, allègement des souffrances, sécurité, mise à mal des traffics, nous avons tout à y gagner. Maintenons la pression !
« Notre lutte contre l’antisémitisme ne doit laisser place à aucune ambiguïté. Pourquoi dès lors isoler le phénomène en focalisant l’attention sur la critique d’Israël ? »
Pour une reconnaissance et une condamnation officielle du génocide ouïghour en France et dans toute l’Union européenne. Il faut mettre fin à l’impunité des multinationales qui profitent du travail forcé des Ouïghour·e·s. Nous ne pouvons plus commercer ou signer des traités avec la Chine comme s’il ne se passait rien. Brisons le silence complice de la communauté internationale ! La voix des Ouïghour·e·s doit enfin être entendue.
« Si j'en comprends l’ambition pédagogique, je me demande en revanche jusqu’où peut aller cette captation. À quelles conditions cette pratique sera-t-elle réellement compatible avec le droit à l’oubli ? »
"Un vrai tournant (si tard venu) - ou juste un exercice obligé à la veille de la présidentielle ?", se demande la sénatrice écolo Esther Benbassa.