par Laetitia Enriquez,
« En dépit de la reconnaissance officielle formulée par la Suède et des tentatives qui émergent dans d’autres pays dont la France, la position de l’UE devrait rester inchangée.
Dès son entrée en fonctions au début du mois d’octobre, le gouvernement suédois avait annoncé qu’il reconnaitrait « l’État de Palestine » par décret gouvernemental, sans demander l’aval du Parlement (où il ne contrôle d’ailleurs qu’une minorité de sièges). Quelques semaines plus tard, le 30 octobre, alors que le processus de paix israélo-palestinien s’est arrêté en avril et que la diplomatie américaine tente de le faire redémarrer, Margot Wallström, chef de la diplomatie suédoise, a ainsi annoncé que son gouvernement avait reconnu par décret l’État de Palestine. La Suède, qui devient donc le premier pays occidental de l’Union européenne à prendre cette décision, entend ainsi « soutenir les forces modérées parmi les Palestiniens ». « Le gouvernement considère que les critères de droit international pour une reconnaissance de l’État de Palestine sont remplis : il y a un territoire, une population et un gouvernement », a en outre estimé la ministre suédoise. » […]
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