Ce billet est le premier de la série Vu du Sénat par Esther Benbassa
EELV – Les universités d’été des partis ont souvent un côté bon enfant. Un air rafraîchissant de colonie de vacances souffle sur ces lieux qui tempèrent -en apparence- la cruauté de la politique. À les voir s’embrasser si chaleureusement, comment imaginer que des gens qui s’aiment tant puissent se faire tant de mauvais coups?
Les militants sont contents: ils voient défiler leurs vedettes, devenues l’espace de quelques jours accessibles, habillées en casual, leur ressemblant plus que jamais. Cécile Duflot faisant des risettes à un bébé, visiblement lui-même très heureux de la voir, alors là, on fond, pour de vrai.
Même si l’on sait bien que les ténors, les grands et les petits, s’activent pour communiquer, mesurent leur influence, avancent leurs pions, affûtent leurs armes…
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