Les Banlieues ne brûlent pas, elles se consument

Publié le 05/03/2012 à 12h52

La semaine du 20 février, la France a eu un éphémère « ministère de la Crise des banlieues », dont le siège était un hôtel particulier parisien abandonné, investi – sans violence – par ACLeFeu, le collectif né à Clichy-sous-Bois à la suite des émeutes de 2005.

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