Cette décision du nouveau président est très critiquée. Elle a lieu avant le discours de politique générale du Premier ministre.
C’est l’une des premières polémiques qui fait vaciller le nouveau président #Emmanuel Macron. Ce dernier a en effet décidé de se présenter devant l’Assemblée Nationale et le Sénat réunis en Congrès à Versailles afin de détailler les caps à atteindre pendant son quinquennat. Mais habituellement, c’est le Premier ministre qui prononce d’abord le discours de #Politique générale devant le Parlement ; de quoi faire grincer des dents, autant à droite qu’à gauche. Certains élus ne se déplaceront d’ailleurs même pas à Versailles, comme ceux de la France Insoumise, représentés par Jean-Luc Mélenchon : « Nous nous rebellons, [c’est un] franchissement de seuil dans la dimension pharaonique de la monarchie présidentielle », déclare l’ancien chef de file du Front de Gauche.
Les absents du Congrès
Les représentants de la France Insoumise, tout comme les élus communistes, ont donc décidé de ne pas se rendre à Versailles pour entendre le discours du président. Ils ne sont pas les seuls ; c’est également le cas de la sénatrice écologiste Esther Benbassa, et de l’ex-frondeur socialiste Régis Juanico. A droite, le centriste Jean-Christophe Lagarde et son bras droit Philippe Vigier resteront également à la maison. Le discours du président est prévu vers 15 heures ; juste avant, Emmanuel Macron aura déjeuné avec les membres des bureaux des deux hémicycles, les présidents de groupe, et d’autres élus, issus des groupes République en Marche, Modem, parti Socialiste, les Républicains, Front National, et quelques non-inscrits.
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