« Chevènement, bon ou mauvais choix pour la Fondation de l’islam de France ? » (Metronews, 16 août 2016)

Jean-Pierre Chevènement, en août 2015.

Jean-Pierre Chevènement divise la classe politique entre les tenants d’une laïcité ferme, ceux qui le jugent au contraire intolérant, ou ceux qui estiment qu’il n’a tout simplement pas le bon profil. Une fracture qui divise à droite comme à gauche. Les critiques les plus hostiles viennent toutefois de la gauche, à commencer par la sénatrice PS des Bouches-du-Rhône Samia Ghali, fustigeant sur Twitter, après sa sortie sur la « discrétion » des musulmans, « les propos ambigus voire malsains d’un homme qui se voit déjà présider la Fondation pour l’islam ». Même appréciation de la sénatrice écologiste Esther Benbassa, selon qui Jean-Pierre Chevènement appelle les musulmans à « vivre cachés, mais pas voilés ».

Lire l’intégralité de cet article sur le site de Metronews