Adama Traoré: deux ans après sa mort, une marche pour empêcher un «déni de justice» (Libération, 21 juillet 2018)
«On n’oublie pas, on pardonne pas»: deux ans après la mort d’Adama Traoré à la suite de son interpellation, (...)
Esther Benbassa
Sénatrice de Paris
Esther Benbassa
Sénatrice de Paris
Catégorie Actualité
Catégorie comprenant différents articles de démonstration : mise en avant de vidéo, de photo, etc.
Adama Traoré: deux ans après sa mort, une marche (21 juillet 2018, AFP)
"On n'oublie pas, on pardonne pas": deux ans après la mort d'Adama Traoré à la suite de son interpellation,
quelque 1.500 personnes ont défilé en banlieue parisienne (...)
Marche pour Adama: les victimes de violences policières en première ligne (22 juillet 2018, Mediapart)
Alors que l’affaire Benalla pose la question de l’impunité au plus haut niveau de l’État, des familles de victimes de violences policières défilaient ce samedi avec leurs soutiens pour demander « justice et vérité » (...)
Adama Traoré: deux ans après sa mort, une marche pour empêcher un « déni de justice » (22 juillet 2018, l’Obs)
Beaumont-sur-Oise (France) (AFP) - "On n'oublie pas, on pardonne pas": deux ans après la mort d'Adama Traoré à la suite de son interpellation, (...)
« Faire de la psychiatrie en prison. Les UHSA, une réponse controversée à la problématique des malades en détention » (Le Quotidien du Médecin, 09 juillet 2018)
Les tensions entre soins et sécurité ont été au cœur du colloque « psychiatrie et prison », organisé par la sénatrice Europe-écologie Les verts Esther Benbassa en partenariat avec l’Association des Secteurs de Psychiatrie en Milieu Pénitentiaire (ASPMP). [...]
« ‘Fraternity’: France revives one of its most revered mottos » (France 24, 07 juillet 2018)
Thousands of French took to social media to express their pride Friday after a top court ruled that a farmer who helped migrants enter France illegally had acted on the “principle of fraternity”, thereby reviving the very essence of France’s motto. [...]
« Pour le Conseil Constitutionnel, le “délit de solidarité” n’existe pas » (Les Inrocks, 06 juillet 2018)
Une décision historique. Ce vendredi, le Conseil constitutionnel a partiellement abrogé le "délit de solidarité", au nom du principe constitutionnel de fraternité. Etre solidaire avec un migrant en situation irrégulière n'est plus illégal, tant qu'on ne l'aide pas à entrer en France. [...]
Revue de presse : « Ces élus qui boycottent le Congrès d’Emmanuel Macron » (09 juillet 2018)
Retrouvez ci-dessous les articles de presse revenant sur les élus qui ne seront pas présents aujourd'hui, lundi 09 juillet 2018, au Congrès de Versailles [...]
Aide aux migrants : la décision du Conseil constitutionnel saluée par la majorité et la gauche (Le Monde, 06 juillet 2018)
« La fraternité retrouve des couleurs » ; à l’instar du député PS Boris Vallaud, beaucoup de responsables politiques se réjouissent de la décision rendue vendredi par le Conseil. [...]