Retrouvez mon passage sur le plateau de France 5 pour débattre du conflit qui oppose Israël et Palestine. Celui-ci serait-il une obsession française ? Quelles répercussions ici, entre Juifs et Arabes, de ce qui se joue là-bas entre Israéliens et Palestiniens ? Depuis quand ? Pourquoi ? Quand je m'oppose à l'occupation, espère l'existence de deux États, et m'inscris dans la belle tradition universaliste juive, R.Enthoven m'accuse sans raison de négationnisme. Et s'excuse. J'en prends acte.
Face à ce conflit aussi inextricable qu’ancien, un sentiment d’impuissance a, en outre, gagné les représentants nationaux de la politique partisane. « En réalité, la gauche n’a pas réfléchi à ce sujet depuis des années et elle n’a rien à proposer, regrette la sénatrice (EELV) et historienne du judaïsme Esther Benbassa. Signer des lettres et des tribunes, c’est bien, mais, dans le fond, à quoi cela sert-il ? »
Manifestation du 12 mai devant le Sénat avec les associations pour demander la mise à l'ordre du jour de la loi contre la maltraitance animale.
En France, plusieurs personnalités ont écrit à Emmanuel Macron pour dénoncer la situation à Jérusalem et lui demander d’intervenir. Je fais partie des signataires.
Le code civil français reconnaît, depuis 2015, les animaux comme des êtres vivant doués de sensibilité. Toutefois, « la condition animale ne semble pas évoluer davantage » depuis : c’est sur la base de ce constat que la sénatrice écologiste Esther Benbassa et plusieurs de ses collègues ont déposé une proposition de loi visant plus de bien-être animal au Sénat le mois dernier. Avant de passer en séance publique le 26 mai, le texte fera l’objet d’une réunion de la commission des affaires économiques qui examinera un rapport de la sénatrice Marie-Christine Chauvin (LR) à ce sujet (12 mai).
Face à la répression des manifestations et l'atteinte aux droits humains en Colombie, pour un large ensemble d'élu·e·s dont Eric Piolle, Clémentine Autain, Fabien Roussel, Jean-Luc Mélenchon ou encore Esther Benbassa et Rémi Féraud, « notre pays se doit d’interpeller le Président colombien afin qu’il garantisse l’application des accords de paix » : « En tant qu’élu·es, nous sommes engagé·es pour le respect de l’État de droit, des libertés publiques et individuelles, et le dialogue social. Nous refusons la répression de la contestation sociale. »
Intervention lors du débat sur le projet de modification de l'article 1 de la
Constitution pour garantir la préservation de l'environnement, de la biodiversité et la lutte contre le dérèglement climatique. Le Sénat a vidé de son sens le texte et le référendum de Macron n'aura pas lieu. Adieu écologie, adieu climat.
Marche du 9 mai pour le climat, à Paris. Le texte « Climat et résilience », adopté à l'Assemblée nationale en ce début mai, est loin de pouvoir répondre à l'urgence écologique et se trouve très éloigné des mesures des 150 membres de la Convention citoyenne pour le Climat. La mobilisation pour le climat, l'emploi, et la liste Ecologie évidemment! menée par Julien Bayou doit continuer.
« Bien sûr que je suis pour les habitants du Val-d’Oise puissent avoir des transports dignes de ce nom, mais en tant qu’écologiste, je suis contre ce projet de gare à Gonesse. Ce sont des terres qui constituent le poumon de Paris et le gouvernement a décidé de construire cette gare dans des champs où l’on peut produire une agriculture locale et permettre aux gens des environs de manger et d’acheter local », peste la sénatrice de Paris, Esther Benbassa, qui préconise plutôt d’agrandir la gare de Villiers-le-Bel.