L’écologiste Esther Benbassa dénonce « une approche de la prison » pour les personnes condamnées pour terrorisme « bien réductrice : toujours plus de répression judiciaire et pas assez de réflexion sur les causes des problèmes qu’on entend traiter », pointe la sénatrice EELV, auteure d’un rapport sur la déradicalisation avec l’ex-sénatrice LR Catherine Troendlé.
Alors que Bundestag vient d’approuver une loi visant à mettre un terme à l’abattage des canetons et poussins en 2022, le gouvernement français, qui s’y était engagé par la voix du ministre de l’agriculture, tarde à tenir promesse, estime dans une tribune au « Monde » un collectif transpartisan de députés et de sénateurs. Or, cet atermoiement ralentit le développement de technologies de sexage.
Au micro de Franceinfo. Les jeunes, ce n'est pas avec de la com' et des petits cadeaux qu'on les ramènera aux urnes. Il fallait être là avant. Répondre concrètement à leur détresse et à leur désespoir. C'est désormais avant tout à eux de se faire entendre et d'exprimer leurs exigences.
Dans une lettre ouverte adressée au gouvernement, 43 ONG et 30 parlementaires, parmi lesquels Esther Benbassa, Cédric Villani, Aurore Bergé ou Laurence Rossignol, demandent la mise à l'ordre du jour du Sénat de la proposition de loi contre la maltraitance animale, votée à l'Assemblée nationale le 29 janvier.
Mercredi 26 mai, le groupe écologiste du Sénat compte défendre une nouvelle proposition de loi censée accélérer les choses. Un texte pour un « élevage éthique » qui conjuguerait « bien-traitance des animaux » et « bien-être des éleveurs », porté par la sénatrice EELV Esther Benbassa. Le texte prévoit notamment l’interdiction du broyage ou gazage des poussins mâles à compter de janvier 2022. Cependant, après retoquage lors de son examen en commission des affaires économiques, le texte a peu de chances d’être validé par le Sénat.
La sénatrice EE-LV de Paris, Esther Benbassa, a fait le déplacement : « De cette guerre, personne ne sortira vainqueur, ni Israël, ni le Hamas, affirme-t-elle. Il ne reste que la souffrance et la désolation des populations civiles. » L’élue déplore que « la question n’avance pas, les Occidentaux l’oublient dès qu’il y a un cessez-le-feu ». Elle attend du gouvernement français une réunion avec les autres Etats pour faire respecter le droit international et faire avancer la question.
Plein air obligatoire, interdiction d’élimination des poussins mâles, limitation des transports : ce sont les principales mesures de la proposition de loi (PPL) « pour un élevage éthique, juste socialement et soucieux du bien-être animal », qui sera débattue en séance publique au Sénat le 26 mai 2021. Déposé le 13 avril par la sénatrice Esther Benbassa (écologiste, Île-de-France) et une trentaine d’élus notamment écologistes et socialistes, le texte a été rejeté en bloc par la commission des Affaires économiques le 12 mai.
Le groupe écologiste du Sénat défendra mercredi dans l’hémicycle une proposition de loi qui tente d’accélérer les choses. Le texte pour « un élevage éthique » entend conjuguer « bien-traitance des animaux » et « bien-être des éleveurs ». Porté par la sénatrice Esther Benbassa, il prévoit notamment d’interdire toute élimination de poussins mâles par broyage ou gazage à compter du 1er janvier 2022. Retoqué lors de son examen en commission des affaires économiques, le texte ne devrait pas être validé par les sénateurs.
Plein air obligatoire, interdiction d’élimination des poussins mâles, limitation des transports : ce sont les principales mesures de la proposition de loi (PPL) « pour un élevage éthique, juste socialement et soucieux du bien-être animal », débattue en séance publique au Sénat le 26 mai. Un texte déposé le 13 avril par la sénatrice Esther Benbassa (écologiste, Île-de-France) et une trentaine d’élus notamment écologistes et socialistes.