Mon article pour Savoir-animal sur la maltraitance des animaux : « Il est temps de reconnaître la souffrance animale pour ce qu’elle est, et d’ouvrir les yeux sur toutes sortes de maltraitances qui ne sont pas interdites »
En France, le sujet de l’élevage intensif revient régulièrement sur le tapis depuis quelques mois. En mai, une proposition de loi « pour un élevage éthique » défendu par la sénatrice écologiste Esther Benbassa a été rejetée par le Sénat. Le texte entendait favoriser l’accès au plein air de tous les animaux d’élevage tout en créant un fonds de soutien aux agriculteurs.
Un propos partagé par la sénatrice EELV Esther Benbassa. Dans un tweet publié samedi après la commémoration, celle-ci estime que les déclarations du président de la République sont «un pas en avant» mais restent «insuffisantes pour réparer les mémoires blessées». «Il est temps de reconnaître le 17 octobre comme un crime d'État», juge-t-elle.
Dès 2014 je me suis engagée pour la légalisation controlée du cannabis récréatif. Je me suis battue aussi pour le cannabis thérapeutique. L'opinion a évolué. Santé, allègement des souffrances, sécurité, mise à mal des traffics, nous avons tout à y gagner. Maintenons la pression !
"Un vrai tournant (si tard venu) - ou juste un exercice obligé à la veille de la présidentielle ?", se demande la sénatrice écolo Esther Benbassa.
« Nous l’avions visité, le 3 février 2017, et à cette époque, une seule personne était présente. C’était inutile, « se souvient alors la sénatrice écologiste Esther Benbassa, à la tête de cette mission d’information. Le rapport de cette mission sénatoriale préconisait de mettre « l’accent sur l’individualisation, l’accompagnement sur mesure et la transversalité de la prise en charge » et d’assurer une meilleure resocialisation et réinsertion.
Retrouvez mon passage sur le plateau de TV5MONDE.
Son entourage a aussi annoncé le soutien de l'ancienne candidate à la présidentielle Eva Joly, de la sénatrice Esther Benbassa, d'une "centaine de maires de communes rurales et urbaines", ou encore des têtes de liste EELV aux régionales en Occitanie Antoine Maurice et en Centre-Val de Loire Charles Fournier.
Malgré les protestations de plusieurs élus dont la sénatrice Esther Benbassa et la centriste Catherine Morin-Desailly, le texte a été approuvé par 251 voix pour et 27 voix contre.Les associations d’historiens appellent les parlementaires à saisir le Conseil constitutionnel, une fois que le texte sera définitivement adopté.