« Prévenir la radicalisation
Intervenir le plus tôt possible en amont. Mais comment ? Faire du centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR), « l’acteur central de la prévention ».
« La radicalisation ne se fait pas à l’intérieur des mosquées », précise Jean-Pierre Sueur, et « la majorité de ceux qui partent ont une connaissance fruste de la religion ». Les sénateurs préconisent une formation pour les acteurs de terrain (dont les maires), tout en faisant de l’école « le premier maillon de la prévention ». Comment former ces gens ? Avec quels moyens ? C’est l’une des grandes interrogations de ce rapport, où l’aspect social, sociétal n’entre pas en ligne de compte, ont regretté les sénatrices Bariza Khiari (PS, Paris) et Esther Benbassa (EELV, Val-de-Marne). La première jugeant que « Daech recrutait plus que les entreprises françaises », la seconde avançant que le djihadisme trouvait ses racines « dans les territoires abandonnés ».
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