Val-de-Marne : les grandes manœuvres commencent pour les sénatoriales (« Le Parisien », 29 juin 2017)

Les élections sénatoriales du 24 septembre occupent déjà les partis politiques. A gauche comme à droite, l’union est loin d’être acquise.

Un scrutin chasse l’autre. Alors que les législatives s’achèvent à peine, un autre combat se dessine : les sénatoriales.

Plus de deux mille grands électeurs, parlementaires, conseillers régionaux, départementaux… sont appelés aux urnes le 24 septembre pour élire six sénateurs. Auxquels s’ajoutent des délégués des conseils municipaux, désignés ce vendredi soir dans toutes les communes.

Alors les calculettes sont de sortie pour connaître les chances des différentes listes possibles. D’autant que le paysage politique a largement changé depuis 2011…

Vers une union à gauche ? Elle tombe sous le sens pour chaque parti, afin de sauver au moins trois des quatre sièges raflés en 2011 grâce à une liste PS-PCF-EELV. Parmi les sortants, Esther Benbassa (EELV) a fait acte de candidature mais à Paris. Christian Favier (PCF), également président du Département doit faire un choix et Luc Carvounas est parti à l’Assemblée nationale. René Rouquet qui ne repartait pas aux législatives, a fait figure de favori jusqu’à peu. Mais les candidatures, dont celle de Laurent Dutheil, se multiplient, alors même que Solferino maintient le gel du Val-de-Marne. Le premier fédéral, qui « réclame un vote des militants », se lance « dans les discussions avec les autres partenaires ».

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