Macron devait-il aller à Kiev ? Oui, peut-être plus tôt, et avec d’autres propositions. L’accueil de Zelensky a été assez froid et cela s’est vu. Quant à instrumentaliser cette guerre-là dans un contexte électoral intérieur, c’est tout simplement inadmissible.
Je suis NUPES, oui. Mais irrévocablement européenne. S’agit-il de « soumettre » le Président ? Il s’agit surtout de restaurer le débat et de lui redonner sens. De rappeler à chacun, aux jeunes en particulier, que oui, la politique peut changer les choses.
J’ignore si Mélenchon sera 1er Ministre. Il a su créer un élan, une énergie. La perspective d’une NUPES puissante à l’Assemblée est une bonne nouvelle. C’est le retour des confrontations, y compris internes, en un mot : de la politique.
Des canicules qui se multiplient. Un réchauffement climatique dont les effets s’aggravent. Et face à cela ? Des services publics démunis, abandonnés, une impréparation choquante, d’autant plus quand elle touche nos écoles.