« Une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales révèle que seuls 13% des personnes se déclarant victimes ont déposé plainte.
«Il est tabou de dire qu’on a été violé, ou agressé sexuellement, car on est dans la culture du viol», dénonçait la sénatrice EELV Esther Benbassa, lors d’une séance au Sénat le 2 février. Un constat malheureusement réaliste si on se fie à l’étude* publiée ce mercredi par l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP). Selon le rapport, une victime de viol sur cinq n’a jamais parlé de son agression et seuls13% des personnes agressées ont porté plainte.
Qualifié de crime et puni de 15 ans de réclusion criminelle, «le viol est l’agression sexuelle la plus grave et probablement la plus traumatisante pour la victime» et pourtant c’est «l’une des infractions les moins signalées à la police», relève l’ONDRP. […]
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